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21 mai 2008 3 21 /05 /mai /2008 22:00

Chers amis lecteurs bonjour! Cet article sous le couvert d'un titre ecrit "à la djeuns" m'à été inspiré par une question récurrente chez toutes les personnes qui ne connaissent pas notre monde d'astrophotraphe amateur et passionés, à savoir : "mais comment réalise t'on une image astronomique ?". Donc connaisseurs vous allez peut-être vous ennuyer, et pour les autre je relève un coin du voile (accrochez-vous, il va y avoir du bla-bla). Je ne m'aventurerai certainement pas dans toutes les démarches technique et n'enfouirai pas l'article dans un monceau de termes technique et allégoriques...

1. Introduction :
Tout d'abord, quelques informations de base: les techniques de prises de vue en ciel profond (galaxies, nébuleuses, etc...) et en planétaires ne sont pas les mêmes. Je reviendrai sur le principe en détail, mais pour commencer, il faut savoir que le temps de pose est important dans les deux cas, en planétaire il est limité dans le temps en opposition avec le ciel profond qui lui doit-être le plus étalé possible. Au final, les poses successives seront "nettoyées" et moyennées afin d'en diminuer le bruit, augmenter la luminosité et de permettre un traitement informatique et cosmétique.

Pour ce qui est du matériel, afin de compenser le mouvement terrestre et stellaire, il faut un dispositif qui va soutenir le chemin optique et qui sera capable de se mouvoir d'abord vers l'objet désiré (encore que certains font encore ce pointage manuellement) et ensuite de suivre son mouvement propre, dès à présent il faut savoir que si le mouvement apparent semble être le même pour tout objet vu dans le ciel, leurs mouvement propres sont différents. Ainsi lune, soleil, planètes et champ stellaire se déplacent à différentes vitesses. Pour les planètes, on peu considérer qu'elle est relativement proche, et vu le temps de prise de vue contigu en planétaire, on peu n'y faire que peu attention. En revanche lune et soleil se déplacent beaucoup plus rapidement.

2. La monture
Pour ce qui est de la monture, il faut savoir qu'un réglage minimum de base est ce que l'on appelle la mise en station, c'est à dire faire coïncider la monture avec le pole céleste. Si cette mise en station n'est pas correcte, ceci va entrainer des dérives importantes sur les objets du ciel profond, provoquer une rotation de champ, et limiter le temp de pose unitaire (nous reviendrons sur ce temps de pose), cette dérive peut rendre voire pas du tout exploitable les images (en fonction de l'erreur), en rendant les étoiles oblongues en déplacement constant sur les différents clichés. Cette dérive est moins importante en planétaire étant donné que les différents clichés vont se réaliser sur de très court laps de temps.

Il existe deux types de montures : les monture allemandes équatoriales, et les monture Altitude/Azimutales (Alt/Az). Le principe d'une monture Alt/Az est une monture à fourche la plupart du temps, et travaille en escalier. Pour éviter les rotations de champs, il existe des dérotateurs (sic) qui vont faire tourner le dispositif de prise de vue en même temps que le déplacement de la fourche, il faut savoir qu'il est possible de monter une fourche en équatorial. Je ne m'étendrai que peu sur ce type de monture.

Une monture équatoriale est un dispositif comportant un axe de rotation parallèle à l'axe de rotation terrestre. Elle permet de suivre facilement un astre lors de son parcours dans la voûte céleste. La monture supporte généralement un instrument d'observation astronomique, tel que un télescope ou une lunette. (définition wikipedia)

3. L'autoguidage
Une monture, suivant sa qualité, va souffrir de différents jeux mécaniques et va provoquer différents problèmes : erreur périodique, erreur de vitesse de suivi, etc... Pour cela, pour de longues poses en ciel profond, la plupart d'entre nous ont recours à un dispositif appelé : autoguidage. Le principe de l'autoguidage est d'avoir en parralèlle du dispositif de prise de vue principal, un second dispositif qui va "garder à l'oeil" une étoile et surveiller un déplacement erroné de celle-ci (au demi pixel près). Une fois ce déplacement observé par un programme informatique, celui-ci au travers d'une interface physique va envoyer les commandes nécessaires au rattrapage de l'erreur directement à la monture. Ce qui à pour effet de pouvoir augmenter les temps de poses unitaires, et donc tout les petits photons continueront à arriver extactement au même endroit sur le capteur sans déformation de l'objet tant convoité.

4. Les dispositifs de prise de vues
Les astronomes amateurs regorgent d'idées géniales (là je parle des copains :oS), afin de rendre accessible à nos petites bourses la capture des objets célestes. Dans la ribambelle des possibilités, il y à les simples webcam de nos PC, qui une fois déconnectée de MSN (et qui arrêterons d'envoyer nos bêtes sourire au travers du monde) peuvent réaliser de l'excellent travail. Pour cela, il suffit de démonter l'objectif d'origine, son filtre infra-rouge (là plus de retour possible sur MSN sans avoir non seulement toujours le même bête sourire mais en plus des couleurs psychédéliques) et de placer un adaptateur qui lui permettra de tenir en place sur le télescope. La webcam dans cet état devient tout à fait capable de capturer des planètes, la lune, et des objets très brillants du ciel profond. Elle devient aussi un objet indispensable pour l'autoguidage.

Des petits génies de l'électronique et de l'informatique (un des premier fut Etienne Bonduelle) trouvent le moyen de modifier nos webcam et de les rendre capable de poser bien plus que le 25° de seconde et peut même aller jusque 80 à 90 secondes, certains remplacent les capteur ridiculement petit d'origine et vont même leur coller des refroidisseurs pelletier, c'est le cas de ma caméra de guidage (merci Seb ;o) ). Dès lors une mutlitude d'objets du ciel profond deviennet acessibles à nos petite webcams.

Un peu plus cher, mais avec plus de sensibilité optique : les appareils photos numériques (APN). Au vu de la taille impressionante de leur capteurs, les champs stelleraires s'agrandissent, et tout une série d'objets deviennent bien plus accessible vu que les temps de poses dépassent allègrement les deux minutes, le codage de l'image étant supérieur aux webcams (notion électronique et informatique) rends les images brutes moin vite brûlées. Dans le cas d'un APN, les images brutes sont de type "One shot", en effet, les capteurs sont couleurs et donc inutile de capturer par passes succèssives aux travers de différents filtre (voir articles suivants concernant la capture)

Et pour terminer, avec le TOP du TOP: les caméras CCD, avec des capteurs plus ou moins grands, noirs et blancs, ils sont nettement plus sensible du fait de la conception même de l'appareil (pas de matrice couleur qui va diminuer la luminosité générale par couche de couleur). Ces caméras sont vraiment taillées pour l'imagerie du ciel profond, avec refroidissement, micro lentilles, matrice de guidage intégrée pour certaines, etc... Il devient dès lors avec l'ajout successif de filtres couleurs et/ou interférentiels, de capturer des objets célestes dans des longueurs d'ondes invisibles mais bien plus révélatrices de détails en fonction de la nature de la cible.

Voici qui clôture le premier article sur le matériel proprement dit. Et félicitations à ceux qui sont arrivés jusqu'ici! Si l'un d'entre-vous y voit: défaut, erreur et/ou manquement qu'il n'hésite pas à me le faire savoir (la zone commentaire y est réservée). Un petit rappel aussi, si vous voulez être tenu au courant de la plublication d'un nouvel article: inscrivez-vous à la "news letter" ici à droite... Over-blog envoie automatiquement un mail lorsque je poste du nouveau, mais pas lors de la mise à jour, alors : à vous de fouiller! Bonne lecture.

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24 février 2008 7 24 /02 /février /2008 12:38

undefinedLundi soir en rentrant du boulot, le ciel avait une couleur rouge orangée magnifique, évidemment, comme je n'avais pas l'appareil photo dans la voiture, le temps d'arriver à la maison, tout était fini. 

Donc mardi, je rentre plus tôt, je prends le pied, l'appareil et mon fils :oD, nous partons à l'endroit que j'avais repéré la veille. Il est clair que les conditions n'étaient plus les mêmes que la veille. Un très faible halo orange fini par apparaître, quelques shoots plus tard, j'essaye de sensibiliser mon fiston sur la façon de regarder les choses: ne pas seulement les voir, les regarder...


Soudain, il me dit papa, on va faire une photo de la ferme là-bas, une fois quelques clichés tirés, je décide de partir avec la voiture voir un chateau que j'avais déjà repéré plus tôt, avec la lune haute dans le ciel, je pensait pouvoir réaliser une belle image. 


Sur la route, un lac magnifique un décors sombre avec un point de lumière, de commun accord nous nous arrêtons et quelques clichés de celui-ci. J'adore Magritte, alos avec l'aide de photoshop, voici ma version de l'image.

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7 janvier 2008 1 07 /01 /janvier /2008 13:37

Depuis lontemps, j'essaye de réaliser une photo de mouvement d'eau, en général, les gouttes sont figées et je trouve que l'action de chute disparait. Ayant été à Disney début janvier pendant lequel nous avons eu un temps magnifique, je vois cette cascade. Je n'ai pas le pied photo donc prise à main levée. Image prise à 100iso pose au 1/640eme. Retouche des niveau et balance des blancs sous photoshop.

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12 juin 2007 2 12 /06 /juin /2007 14:00

BoiteFlats.JPGBonjour  à tous, voici enfin un "petit" article sur la fabrication de ma boite à flats ou PLU (plage du lumière uniforme). Tout d'abord quelques aspects et théories. Je dois aussi vous avouer que la communauté des astronome est divisée sur l'utilité d'un tel dispositif. Je m'explique: une partie des astronomes amateurs utilisent le ciel du crépuscule ou de l'aube, d'autre un drap blanc éclairés (par coups de flash ou de lampes avec certaines qualités, etc...). L'autre partie, dont je fais partie en l'occurence, optent pour la boîte à flats. Mon choix s'est effectué par le fait que comme je ne laisse pas le matériel dehors en permanence et que je rentre avant l'aube, mon dispositif optique est complètement démonté avant que le ciel ne me donne un éclairage suffisant, et puis encore sortir un écran blanc, un éclairage correct et... pfffft, il y à assez de brol et de fils sur la terasse lorsque je suis occupé ;o).

Qu'est ce qu'un flat ? Et à quoi sert-il:
Un flat (ou PLU en Français) permet de dresser une carte des réflexions optiques (dues au poussières en suspension dans le tune) des saletés sur le capteur (traces de condensations, poussières, etc...). Cette carte créée par compositage médian, permet aussi de diminuer le vignettage sur une image (défaut de réducteur, mauvaise distance capteur/foyer, etc...). Une fois cette carte ou image réalisée (divisée par l'offset), nous allons diviser les brutes (diminuées du dark) afin d'en enlever les éventuelles poussières. Pour plus d'infos sur les flats/darks et offset vous pouvez consulter le site de Nicolas Outters qui en montre quelques exemples. Pour plus d'informations, je ne peux que vous conseiller l'excellent article de Nicolas Outters paru dans Astronomie et CCD.

Conception et fabrication:
Je suis parti des idées de Nicolas Outters (ouais, encore lui) et de Valère Perroud (je vais arrêter de citer ces deux savoyards, ils vont encore avoir la grosse tête :oD), ah oui au fait, si vous passez par leur site et que vous redescendez sur terre, n'oubliez pas de revenir par ici pour lire la suite... :o). Seulement, possédant plusieures optiques différentes, il me fallait pouvoir l'utiliser sur toutes, je voulais un bon éclairage sur 12V (auto ou transfo) et pas me prendre la tête avec des résistance et tout le toutim. Donc, je me suis rendu au Gamma du coin (style Brico ou Leroy Merlin) et j'y ai trouvé des petits projecteurs à 3 leds vendu par 3 avec un transfo 12V (21€ : c'est cher, mais le luxe l'est toujours !!!), pour liminter la luminosité de ceux-ci (et leur lumière bleutée), j'ai inséré entre le support et la vitre des spots une simple feuille de papier blanc. J'ai utilisé du cadapac 5 milimètres (pfiouw, ça aussi c'est cher) à chaques fois collés en panneaux doubles. Pour la plaque de plexi blanc (5mm), elle est prise entre deux doubles couches de cadapac. Pour ce qui est du réflecteur de lumière, même matériaux cintré sur mon T254, idem pour l'adaptateur cintré sur le tube du C8. Comme vous pouvez le voir sur le schéma, la découpe lumineuse est décentrée, ceci pour une simple question de place pour les 3 projecteurs. Pour cintrer le cadapac, il suffit de prendre la bande et de la passer sous l'eau (chaude, ça va mieux), de bien l'imprégner sans en oublier les tranches et de commencer à le fléchir. Une fois celui-ci bien trempé, il suffit de lui faire faire le tour du diamètre désiré (attention, en le tenant toujours bien contre!, sans quoi il cassera net!) ensuite un petit morceau de tape pour tenir le tout et laisser sécher un maximum. Pour terminer et rigidifier le tout, j'ai posé sur tous les angles une bande de tape.  Ci-dessous un schéma de ma boîte à lumières, et si ce n'est toujours pas clair pour vous, n'hésitez pas à demander, l'espace commentaire est là aussi pour celà ;o)

BoiteFlatSchema.jpg
Cliquez pour agrandir

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10 juin 2007 7 10 /06 /juin /2007 18:01

ComCanon.JPGSalut à tous,

Dans un article précédent je parlais de ma commande canon qui qui ne fonctionnait pas... Eh ben, je me trompais, en effet, lorsque par hasard, j'ai redémarré mon PC (et que celle-ci était branchée avec le 350D connecté et allumé), j'ai vu l'EOS déclancher...

Donc aujourd'hui après avoir remplis mon devoir de citoyen, je me suis remis à ce problème. Lorsque j'ai démarré mon portable avec le câble USB->RS232, transféré le port com7 attribué automatiquement vers le com1 (opération réalisée plus tôt pour mes test interface autoguidage IteLente.) J'ouvre IRIS et ... ça maaaaarche.

 Donc, comme celle-ci est opérationelle, voici un petit article de sa description ;o)
 Je suis donc parti de l'excellent article de Sylvain Rondi qui décrit une télécommande standard avec focus, déclenchement et pose B, j'ai ajouté à cela la sauce de Christian Buil, histoire d'avoir une commande manuelle et PC dans le même boitier sans avoir à sortir tout le "fatras" ou bien avoir deux boitiers différents....

Le câble sortant n'est pas fixe, histoire de pouvoir disposer d'un cordon de commande compatible avec mon interface IteLente, donc se trouve une connection par jack 3,5. A savoir aussi que la diode 1N4141 (pas dispo chez Conrad) préconisée par Christian est chez moi une 1N4001 ;o) 

Sur L'illustration ci-dessous (directement du site de Christian, cliquez pour accéder au site), on voit facilement, comment y raccorder le boitier de commande de Sylvain. Dans mon cas, je suis en parallèle, donc ne pas toucher aux interrupteurs lorsque le PC est occupé... 

Ci-dessous le schéma de Christian Buil (cliquez pour accéder au site de Christian)


L'intérêt de cette commande aussi, est qe lorsque le cable USB canon est connecté en même temps, IRIS peut directement télécharger l'image vers le PC. Une autre fonction possible aussi est le relevage du miroir avant le shoot, pour plus d'info je vous conseille de vous référer au site de Chistian.

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10 juin 2007 7 10 /06 /juin /2007 17:46

Voilà enfin les combats contre la pollution lumineuse qui commence à porter ses fruits... Je copie/colle ci-dessous l'article du blog de Joel Bavais (je pense qu'il ne m'en voudra pas ;o) ): 

"Un projet de lutte contre la pollution lumineuse a abouti au Mont-Megantic au Quebec ! vous trouverez plus d'infos grâce à Radio-Canada ici (reportage tv) et ici (reportage radio).

il y a donc de l'espoir !!

et voilà un site à parcourir : Astolab du par national du Mont-Megantic"

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14 mai 2007 1 14 /05 /mai /2007 19:00

Et bien nous y voilà, devant l'ampleur du phénomène, j'en arrive au blog ! En effet depuis longtemps, j'ai décidé de faire mon propre site web, histoire de classer et publier mes images, mes aventures (bonnes et mauvaises en imagerie). Finalement, le temps passe, mon site n'avance pas et c'est la bérézina dans mon disque dur :oS

J'espère que la visite de celui-ci vous comblera les yeux, et que j'arriverai au travers de celle-ci à vous faire entr'apercevoir une partie de mon monde visuel; de la terre aux cieux, de vous faire partager mes expériences bonnes et mauvaises, sous forme d'images et ou de CROA (compte rendu d'observation astronomique).

Bonne visite!

 

PS: Vous trouverez des articles antérieurs à l'ouverture: c'est normal, je vais essayer de retracer une partie de mon histoire astro ;o)

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14 mai 2007 1 14 /05 /mai /2007 18:00

Un petit post sur le matériel utilisé ne fera pas de mal, donc voici un petit descriptif de la chose... ;o)

Dispositifs de prise de vue

  • Caméra Phillips TouCam pro II modifée longue pose et mode RAW(merci Jean-Marie ;o)
  • Caméra Phillips TouCamPro II modifée LP, capteur 1/2 couleur et refroidissement pelletier (merci Seb ;o)
  • Caméra Phillips SP900NC non modifiée (terrible en planétaire)
  • Canon EOS 350D (non modifié, mais une fois la garantie passée, si je ne craque pas avant, il sera modifié Baader)

Dispositifs optiques

  • Ancien tube de mon LX90 adapté sur l'EQ6 (avec bob knobs et mise au point electrique)
  • Tube skywatcher 254/1200
  • Lunette autoguidage skywatcher 102/660 (pas mal de vignettage, mais champ terrible. Parfait donc pour l'autoguidage)

Monture

  • Skywatcher EQ6 pro

Filtres et modificateurs de focale

  • Filtre IR/UV cut baader filet 31,75 (directement sur la bague occulaire des webcams)
  • Filtre LPR celestron au filet 50,8 (se visse directement au cul du C8)
  • Filtre astrosolar pour des shoots solaires
  • Réducteur de focale 3,3 meade avec correcteur de champ
  • Barlow réglable 2 à 3.5x
  • Tubes allonges (merci Olivier M. ;o) de 2,5 cm à 5cm

Les petits trucs bien pratiques

  • Alimentation à base de celle d'un PC
  • Alimentation externe pour canon EOS
  • IteLente (interface d'autoguidage)
  • Boîte à flats (pour le T254 et le C8)
  • Anti-buée pour le C8 et pour la lunette guide

Les softs

  • AstroSnap pro
  • Goto gAPe
  • Iris
  • Cartes du ciel
  • Pix Insight

A venir :oD

  • Modification du newton pour MAP electrique
  • Modification de l'EOS
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15 juillet 2006 6 15 /07 /juillet /2006 12:54

Salut à tous

LX90 est mort, vive le LX90 :oD . En fait la vis de l'embrayage avait détruit son filet dans l'arbre principal en alu (alu contre acier: pas de pardon). Je devait trop serrer pour éviter les jeux. Pour le démontage des carters latéraux, je me suis servi des excellentes pages:
http://m1.aol.com/kewtasheck/dec.html
http://m1.aol.com/kewtasheck/ra.html

J'ai foré l'axe primaire à 5,2mm et taraudé. Placé une douille (ressort de métal souple) et passé le filet à M5. Forage du disque d'embrayage à 5,2 et refait les chanfreins recto et verso (mèche de 8). Retrait de la vis d'origine pour le serrage et remplacement par une M5 de 50mm de long (histoire de ne pas serrer sur le début du filetage). Réglage selon la page ci-dessus en DEC et remontage avec une nouvelle graisse (moins fluide et résistance de -20° à +120°).

Conclusion: plus de jeux en DEC et donc nécessité de serrage plus que léger de la vis d'embrayage, tout en gardant la souplesse débrayée (réaction plus "grasse", nettement moins brute). Tests ce soir si le ciel me le permet (orages en vue). Si c'est concluant, idem demain pour RA (où les jeux sont aussi importants qu'en DEC)...

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